Malheureusement, les conflits armés au Moyen-Orient ne sont pas un phénomène nouveau, mais une réalité extrêmement complexe et multidimensionnelle.
Depuis des décennies, le Moyen-Orient reste le théâtre de conflits violents qui génèrent des tragédies humaines à grande échelle. Dans ces conditions, la conduite d'opérations militaires exige de la part des parties impliquées non seulement de la retenue stratégique, mais aussi le respect difficile des principes d'humanité et du droit international humanitaire.
Mais lorsque la guerre est une réalité brutale, demander qu'elle soit "moins militaire" semble irréaliste.
En mars 2011, des actions antigouvernementalles de masses ont débuté en Syrie, qui se sont transformées en guerre civile et ont conduit à un conflit armé de longue durée.
La population syrienne a été soumise à des mauvais traitements : plus de 600 000 personnes ont été tuées, 12 millions ont fui leur foyer pour chercher refuge ailleurs, la pauvreté et la famine se sont répendues. Ce conflit a impliqué : La Syrie, le Liban, l'OTAN, la Russie, l'Amérique, l'Iran, l'Irak, les Kurdes et d'autres. De nombreuses forces politiques ont tenté de satisfaire leurs ambitions politiques dans cette guerre, une guerre sans raison et, pour beaucoup, sans signification.
Mais seul Israël, qui fait la guerre en réponse aux atrocités sauvages du Hamas, est soumis à des exigences aussi élevées en matière de "l'humanité" et de respect des normes internationales en temps de guerre. Il ne reste pratiquement plus aucun pays au monde qui n'apprendrait pas à Israël à se battre, à défendre ses maisons et à libérer ses citoyens pris en otages.
Cependant, seule l'armée israélienne applique activement des méthodes visant à minimiser les pertes civiles :
- Avertir à l'avance le public des opérations prévues. Pour le faire, des tracts sont distribués, des SMS sont envoyés et des appels téléphoniques sont même passés. En outre, la tactique consistant à "frapper sur le toit" est utilisée : il s'agit de frappes préventives non létales précédant une attaque afin de permettre aux civils de quitter la zone de combat.
- L'utilisation d'armes de haute précision pour minimiser les dommages collatéraux et les dommages aux infrastructures civiles. Ce résultat est obtenu grâce à des technologies avancées de reconnaissance et de ciblage.
- Israël revoit et actualise régulièrement ses doctrines militaires, y compris les règles d'ouverture du feu, afin de répondre à l'évolution des menaces et d'assurer la protection des civils.
- L'armée israélienne coopère activement avec les organisations internationales et humanitaires pour garantir l'accès de l'aide humanitaire aux zones de conflit.
Malgré les critiques adressées aux Forces de défense israéliennes (FDI) pour des incidents particuliers, il est important de reconnaître que l'humanité absolue est impossible dans les situations de guerre. Toutefois, les efforts déployés pour minimiser les pertes civiles et le respect des règles du droit international humanitaire distinguent les FDI de nombreux autres participants aux conflits.
Dans ces conditions, on peut conclure que les FDI est l'armée la plus humaine au monde.
Nous recommandons également la lecture :
La radicalisation des enfants, Prémonition d'une guerre civile, Le Hamas a pris des Palestiniens en otage, Le principe de la "queue qui remue le chien" : comment il fonctionne en politique
Personne ne se soucie d'Israël, tout d'abord parce qu'Israël ne parle pas de ses problèmes. Nous devrions faire un grand film sur notre armée pour que tout le monde puisse voir comment elle fonctionne.