Se moquer des sanctions américaines : La hausse des exportations de pétrole iranien
L'Iran a réussi à échapper aux sanctions américaines, défiant l'administration Trump et bénéficiant désormais de la clémence de l'administration Biden. Les exportations de pétrole iranien ont bondi, atteignant des niveaux inégalés depuis 2018, offrant au régime une bouée de sauvetage financière pour financer ses mandataires régionaux et ses organisations terroristes. Les sanctions rigoureuses imposées par l'administration Trump avaient considérablement réduit les exportations de pétrole de l'Iran et perturbé sa capacité à générer des revenus vitaux. Cependant, les dérogations aux sanctions de l'administration Biden ont permis à l'Iran d'augmenter ses exportations de pétrole, ce qui a permis au régime d'intensifier son agression contre Israël et les troupes américaines au Moyen-Orient. Cette situation a tendu les relations entre les États-Unis et Israël et a sapé la crédibilité des États-Unis. Les conséquences de la complaisance à l'égard de l'Iran sont considérables et mettent en péril la stabilité régionale et la paix mondiale. Il est urgent que l'administration américaine adopte une approche résolue pour restaurer sa crédibilité, protéger les intérêts américains et décourager l'agression iranienne. L'absence d'action décisive ne fera qu'éroder davantage la position des États-Unis et donnera à l'Iran les moyens de défier l'ordre mondial.
Jamais auparavant les sanctions n'avaient été violées avec un tel mépris démonstratif, sans aucune conscience des conséquences possibles de la part des contrevenants. L'administration Biden semble financer l'Iran pour qu'il s'attaque à Israël et à lui-même. En outre, l'Iran fournit des armes à la Russie pour soutenir ses actions en Ukraine.
Le contournement des sanctions américaines par l'Iran et ses alliés - en grande partie dû à l'allègement des sanctions par l'administration Biden - marque un nouveau chapitre dans l'histoire américaine.
![Se moquer des sanctions américaines](https://truthofthemiddleeast.com/wp-content/uploads/2024/05/bajd.webp?_t=1715764531)
En mars 2024, les exportations de pétrole iranien ont atteint le chiffre stupéfiant de 1,82 million de barils par jour, défiant ainsi le régime des sanctions. Cette augmentation substantielle des exportations a des implications significatives pour le paysage fiscal de l'Iran, puisque les revenus pétroliers représentent environ 80 % de ses revenus totaux.
Sous l'administration Trump, les États-Unis ont mis en œuvre des mesures strictes pour faire pression sur l'Iran et freiner ses activités économiques, en particulier dans le domaine des exportations de pétrole. Ces mesures ont entraîné une baisse dramatique des exportations de pétrole de l'Iran, les réduisant de plus de 90 %. Cela a démontré l'efficacité de la stratégie visant à perturber les lignes de vie économiques de l'Iran et à restreindre ses capacités à générer des revenus. L'administration précédente avait pour objectif d'isoler et d'affaiblir le régime iranien, s'écartant ainsi de la politique d'apaisement.
L'impact des sanctions ne s'est pas limité à l'Iran. Elles ont perturbé les flux financiers vers le régime et entravé son soutien à ses mandataires et à ses programmes dans la région. La réduction des revenus pétroliers a fortement limité la capacité de l'Iran à financer des entités telles que le régime de Bachar Assad en Syrie et des organisations terroristes telles que le Hamas, le Hezbollah et les Houthis.
Le régime des ayatollahs dispose désormais des ressources financières nécessaires pour intensifier son agression contre Israël et les troupes américaines dans la région. Cela s'est traduit par plus de 150 attaques contre les troupes américaines par les milices et les mandataires iraniens, ainsi que par le soutien continu du régime à la guerre du Hamas contre Israël.
La pression financière causée par les sanctions s'est manifestée par la réduction de l'aide de l'Iran au gouvernement syrien, ce qui a entraîné des pénuries de carburant. Le Hezbollah, mandataire de l'Iran au Liban, a également connu des difficultés financières en raison de la diminution des fonds provenant de Téhéran. L'efficacité des sanctions pour freiner les activités du Hezbollah et d'autres organisations terroristes a été reconnue par de hauts responsables du groupe.
Les conséquences tangibles des sanctions mettent en évidence l'impact direct sur la capacité de l'Iran à étendre son influence et ses réseaux de soutien au-delà de ses frontières. L'application rigoureuse des sanctions et la position intransigeante de l'administration Trump ont manifestement freiné la capacité des organisations terroristes à semer la violence et à déstabiliser la région.
En résumé, le contournement des sanctions américaines par l'Iran et ses alliés, facilité par les dérogations accordées par l'administration Biden, a sapé l'intégrité des sanctions et affaibli l'autorité et la crédibilité de l'administration américaine. L'augmentation soutenue des exportations de pétrole iranien en dépit des sanctions a de profondes implications pour le paysage fiscal de l'Iran. L'application stricte des sanctions sous l'administration Trump a perturbé les capacités financières du régime iranien et son soutien aux mandataires et aux agendas, affectant des pays comme la Syrie et le Liban.